Eh oui, Arnaldur revient pour la sixième fois : La cité des jarres, La femme en vert, La voix, L'homme du lac, Hiver Arctique... Voici : Hypothermie. C'est toujours aussi bien, toujours aussi triste, aussi touchant. Erlendur poursuit sa quête et traîne ses démons, avec patience, avec détermination, non, entêtement : sa recherche de la vérité ne lui laisse jamais de répit.
Arnaldur, quant à lui, continue sa réfléxion sur le temps, celui qui se fige au moment où s'emballent les événements qui annihilent ou enferment les victimes dans leur propre enfer, celui qui engloutit ces moments qu'on croit être le bonheur, celui qui est, à jamais, perdu. C'est une oeuvre funèbre, une méditation sur le temps, la mort et le sens de la vie.
1 commentaire:
Je l'attends avec beaucoup d'impatience...
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