lundi 31 décembre 2012




D'ici quelques jours, le 3 janvier, le second volet de la trilogie de Jón Kalman Stefánsson sera disponible en collection folio. La troisième partie de la trilogie paraîtra le 11 janvier dans la collection Du monde entier. Ce dernier opus est à la hauteur des deux autres : une merveille...
Meilleurs voeux à tous les lecteurs de ce blog.
 











dimanche 16 décembre 2012


 
Pour ceux des lecteurs de ce blog qui me demandent régulièrement des informations sur l'enseignement des langues nordiques - et plus particulièrement de l'islandais - en France, je les engage vivement à aller visiter le site du Département d'études nordiques de l'Université de Caen Basse-Normandie. 

 Les études nordiques à Caen

vendredi 7 décembre 2012

A paraître le 10 janvier 2012 chez Gallimard, Du monde entier, 460 et quelques pages de bonheur pour le traducteur... Voici la présentation qu'en donne l'éditeur, en quatrième de couverture - enfin, je suppose, je n'ai pas encore eu le livre entre les mains.

"«Où s’achèvent les rêves, où commence le réel? Les rêves proviennent de l’intérieur, ils arrivent, goutte à goutte, filtrés, depuis l'univers que chacun de nous porte en lui, sans doute déformés, mais y a-t-il quoi que ce soit qui ne l’est pas, y a-t-il quoi que ce soit qui ne se transforme pas, je t’aime aujourd’hui, demain, je te hais – celui qui ne change pas ment au monde.»
Jens le postier et le gamin ont failli ne pas sortir vivants de cette tempête de neige, quelque part dans le nord-ouest de l’Islande. Ils ont été recueillis après leur chute par le médecin du village, et le gamin, une fois de plus, a l’impression de revenir à la vie. Nous sommes au mois d’avril, la glace fondue succède à la neige et au blizzard. Après avoir repris des forces et fait connaissance avec quelques habitants comme cette jeune femme à la chevelure rousse qui met en émoi le gamin, tous deux peuvent finalement reprendre le bâteau pour retrouver une autre communauté villageoise, celle de leur vie d’avant : la belle veuve Geirþrúður, farouchement indépendante, le capitaine aveugle et sa bibliothèque, puis Andrea, la femme du pêcheur Pétur qui rappelle au gamin le pouvoir des mots. Il lui a écrit une de ces lettres qui transforment un destin, l’enjoignant de quitter son mari au cœur si sec...
Conjuguant le romanesque du récit d’aventure à la poésie du roman introspectif, porté par une narration où chaque mot évoque avec justesse les grandes questions existentielles – le passage du temps, l’éveil au désir, l’espoir d’une vie meilleure – aussi bien que la réalité de l’Islande de la fin du XIXe siècle, Le cœur de l’homme nous offre une lecture tout simplement bouleversante."